François Badeau
Projets

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TRIO K7

Le Trio K7, une formation musicale qui a pour objectif de revisiter les mélodies qui ont marqué les nuits de folie des années 80. Qui n’a jamais rêvé d’être à bord d’un cargo, d’aimer en mer ou de sauver Macumba pendant une de ces nuits endiablées ? Le Trio K7 vous invite à replonger dans ces moments intemporels en revisitant ces mélodies dans un style jazz, improvisé et acoustique. Le trio est composé d’un piano, d’une basse et d’une batterie, qui travaillent ensemble pour astiquer les mélodies du passé et les faire renaître avec une touche moderne. Adieu les nuits effrayantes qui n’en finissent plus, le Trio K7 vous promet des moments inoubliables remplis de musique et de souvenirs. Rejoignez le Trio K7 pour un voyage musical à bord de l’avion de vos souvenirs. Préparez-vous pour une collision musicale sans danger, une nuit qui sera assurément chaude et sauvage. Laissez Stendhal et ses rouges et noirs derrière vous et venez découvrir le Trio K7, votre nouvelle source de souvenirs musicaux.

MOX

MOX

A l’origine de MOX, il y a un attrait commun pour les musiques traditionnelles à danser. Elles sont un vecteur d’énergies puissantes, instant de partage et d’échanges. Pour François et Gweltaz, anciens membres du groupe de musique bretonne Esquisse, c’est avant tout l’envie de  reprendre la route ensemble, forts des trouvailles que chacun ait pu faire depuis. Pour le troisième, Manu, batteur émérite dans diverses esthétiques dont les musiques du monde, c’est l’opportunité de s’intéresser aux musiques de chez lui. Avec Mox, ils effectuent un travail de fond sur les caractéristiques des danses de Haute-Bretagne (et d’ailleurs), afin d’en dégager les rythmiques spécifiques qui serviront de base à des musiques plus éclectiques inhérentes au parcours de chacun des musiciens. Il s’agit d’une proposition ancrée dans son temps avec l’ajout d’effets et de sonorités électroniques utilisés aujourd’hui.

Les Frères Badeau

Les Frères Badeau

Depuis 1996, François et Thomas Badeau jouent en duo lors de fest noz et concerts.
Leur répertoire est composé de danses de haute et basse bretagne avec un accent sur les danses du pays Nantais. Un duo accordéon diatonique et clarinette pour une musique fine et dynamique! Membres fondateurs du groupe Esquisse (2000 à 2015), ils multiplient les expériences au sein de différents groupes de musiques bretonnes, mais aussi rock, chanson française, jazz…
Après plus de 500 concerts/fest-noz en Europe avec le groupe Esquisse ils reviennent en duo, le phrasé volubile de Thomas à la clarinette marié aux harmonies et surprenantes rythmiques de François à l’accordéon n’ont pas fini de ravir danseurs et mélomanes! En 2017 ils fêtent leurs 20 ans de musique!

Oriaz

Oriaz

Groupe instrumental du Pays nantais créé en 2015, ORIAZ est l’association de quatre musiciens inscrits dans le paysage traditionnel de Bretagne : Gwenolé Ayoul – hautbois, Loiez Loquet – guitare, Bruno Letron – accordéon et François Badeau – Basse.  Le groupe veut offrir une atmosphère qui vous entraîne dans une musique à danser, sans limite de terroirs et de frontières. Ancré dans la tradition, ORIAZ voyage sur un répertoire où les quadrettes aux chaînes se déroulent autour des couples où chaque mélodie est au service de la danse.

Goudédranche Badeau

Goudédranche Badeau

Après avoir animé la scène bretonne, chacun de leur côté, c’est au détour de festoù noz que ces deux là se rencontrent. Venant respectivement du pays Paludier et du pays Nantais ils ont à cœur de représenter leur terroir en fest-noz. De l’avant deux de travers au rond paludier, leur répertoire se complète aussi de danse de basse et de haute Bretagne. Envahis par la même envie, c’est naturellement que François Badeau et Benjamin Goudédranche, pleins de dynamisme et de bonne humeur vont vous faire danser tout au long de la nuit.

Julie Vincent et François Badeau

Julie Vincent et François Badeau

Au terme traditionnelle, ils préfèrent d’ailleurs celui de musique populaire ou régionale. La musique de Julie Vincent et François Badeau a des racines, mais aussi un avenir. Quelle complicité entre le violon de Julie Vincent et l’accordéon diatonique de François Badeau. Les montées en gamme s’attendent, les regards s’échangent. Le plancher subit le métronome endiablé des pieds de François. Entre l’archet et le soufflet, ça se répond, ça se complète, ça s’entraîne mutuellement, ça sourit, ça se charme un peu aussi.
L’idée de cette collaboration est née de deux manières diamétralement opposées. Pour François, le musicien autodidacte du pays nantais, c’était une évidence. « Depuis tout gamin, je fréquente les fest-noz avec ma famille. Je me suis donc formé sur le tas. » Pour Julie, en revanche, le parcours musical est beaucoup plus classique. « Mes parent m’ont inscrite à l’école de musique de Mouilleron-le-Captif à l’âge de 7 ans. » Puis, à 14 ans, la jeune fille rejoint les classes du Conservatoire de La Roche-sur-Yon. « C’est grâce à cette technique apprise et à un oncle fan de bals qu’est née ma passion pour cette musique. » Cette musique aux accents maraîchins, bretons, grands-bretons que l’accordéoniste ressent ainsi : « Avec Julie, on pense qu’en ce moment, ce n’est pas nous qui faisons de la musique trad. On puise dedans pour faire du populaire. Concernant le côté trad, ce sera aux générations futures de dire si oui ou non nous en avons joué. » Une modestie et une lucidité que surpassent de nombreux spectateurs venus les applaudirent à la Maison des arts de Challans. Comme cet habitué des fest-noz, depuis l’âge de ses 18 ans, qui glisse à l’oreille de François à sa sortie de scène : « Vous portez un autre regard sur ces musiques et je vous en remercie. Je suis heureux de voir que vous et d’autres jeunes perpétuent cette tradition. » Un travail de composition et de reprises rendu possible grâce notamment à un homme : Gaston Dolbeau. Habitant de Bois-de-Céné, ce dernier a réalisé un énorme travail de collectage sur lequel ont pu s’appuyer Julie Vincent et François Badeau. « On a puisé dans ce vivier, explique le diatoniste. On a pris plusieurs bouts de mélodies et de danses, on les a trituré dans tous les sens et on en a fait de nouveaux morceaux agréables à jouer et à écouter. » On en veut pour preuve cette Hirondelle, titre de leur premier album, également premier morceau peaufiné de concert par le duo. « C’est le premier thème qu’on a trouvé et décidé de bosser ensemble, confirme la violoniste. On l’a harmonisé et chacun y a apporté ses compositions. » Un renouveau de cette musique populaire qui dépasse le simple travail du répertoire et des compositions.

Pierre-Yves Bulteau

Le CoON

Le CoON

En 2013, dans la région nantaise, l’accordéoniste François Badeau invite le percussionniste Matéo Guyon et le saxophoniste Elie Dalibert à créer Le CoON, avec l’envie de provoquer une rencontre entre des musiciens de cultures musicales différentes. Commence alors une année pendant laquelle les trois musiciens vont se chercher pendant de longues répétitions. Le but étant de jouer davantage sur la complémentarité musicale que sur l’empilement d’individualités. Très vite se dégage un univers à la fois doux et dense, parfois chaotique. Les compositions influencées des compositeurs minimalistes s’enchaînant à des thèmes qui ressemblerait à ceux issu d’une mémoire collective régionale, le percussionniste, tantôt mélodiste tantôt rythmicien laisse les harmonies électrifiées de l’accordéoniste envelopper les improvisations du saxophoniste, c’est un paysage sonore qui se dresse conviant l’auditeur à un voyage sans image, sans parole, où tout repose sur l’imaginaire de l’oreille. Ces trois aventuriers des rythmes perdus vous proposent un univers cinéphage où se mêlent regards propices et gifles tendres. User les codes sans retenue, débusquer les larmes de plain pied, tels sont les besoins du CoON.

Thierry Bertrand quartet

Thierry Bertrand quartet

Musique maraîchine en quartet. Pour fêter l’anniversaire de ses « 30 ans +1 », l’Ecole de Veuze de la Garnache a souhaité inviter Thierry Bertrand à se produire lors du bal du 13 novembre. Facteur d’instruments à vent depuis 1977 (veuze, hautbois), professeur de veuze depuis 1983, Thierry est aussi cofondateur de l’école de veuze où il est le premier professeur en 1990. Les partages et les mélanges des différentes musiques traditionnelles, sont toujours des aventures riches en rencontres humaines et artistiques. C’est dans cet état d’esprit que pour ce projet, Thierry Bertrand fait appel à trois musiciens de renom : Bernard Subert (chant, clarinettes, hautbois…), François Badeau (accordéon diatonique et chromatique), et Thierry Moreau (violon, violoncelle). Leurs talents et leurs multiples expériences dans différents genres musicaux, apportent un regard original et novateur, sur cette musique « maraîchine » pourtant séculaire, mais également propice aux sonorités actuelles.